La Blender Foundation lance un nouveau film open source faisant la part belle aux effets spéciaux

Connaissez-vous la Blender Foundation & le logiciel libre de création 3D Blender ?

La Blender Foundation a pour but de développer et promouvoir ledit logiciel libre, et pour ce faire, régulièrement elle produit un nouveau court-métrage pour montrer de quoi est capable ce logiciel dans le domaine du cinéma 🙂

Voici donc Tears of Steel, un film  de Science-Fiction (j’adore) rempli de très beaux effets spéciaux, leur dernière production Open Source … Vous pouvez télécharger gratuitement la version en Full HD de Tears of Steel à cette adresse … bon visionnage 🙂

 

>>> sources & plus d’infos sur : http://www.blender.org/ + http://mango.blender.org/

& http://www.nikopik.com/2012/09/le-nouveau-film-open-source-de-la-blender-foundation-fait-la-part-belle-aux-effets-speciaux.html

 

 

 

« Sur la réforme du droit d’auteur », intégralement traduit en Français

« Sur la réforme du droit d’auteur », intégralement traduit en Français

L’ouvrage de référence réalisé par les fondateur et député européen du Parti Pirate est désormais disponible en Français, grâce à une traduction coordonnée par Politique du Netz.

Contrairement à une idée trop souvent répandue, le Parti Pirate ne milite pas pour l’abrogation du droit d’auteur. La jeune formation politique, née en réaction à la multiplication des procès intentés contre les utilisateurs ou créateurs de services de partages de fichiers, demandent une révision du contrat social qui lie la société et les auteurs, avec un rééquilibrage des droits et devoirs de chacun.

En septembre 2011, le fondateur du Parti Pirate suédois, Rick Falkvinge, et le député européen Christian Engström publiaient une somme, The Case For Copyright Reform, dans laquelle ils détaillaient les réformes qu’ils souhaitaient pour modifier le droit d’auteur dans un sens jugé plus optimum pour la société tout entière.

Très riche, l’ouvrage plaide pour la légalisation du partage des oeuvres dans un cadre non-commercial ; pour une durée de protection des oeuvres ramenée à 20 ans à partir de la date de publication, avec obligation d’enregistrer la demande de protection au bout de 5 ans pour assurer l’exclusivité d’exploitation ; pour la reconnaissance d’un droit à l’utilisation gratuite d’extraits, et pour l‘interdiction des DRM. « La question est plus large que celle des revenus des artistes. Il s’agit d’un choix de société (…) Nous avons besoin de changer la direction que prend la législation sur le droit d’auteur pour protéger nos droits fondamentaux. Aucun modèle économique ne vaut mieux que nos droits civiques« , défendent les auteurs. Dans le livre, ils détaillent par ailleurs leur opposition à la licence globale, qu’ils estiment être « une fausse solution pour un faux problème ».

Jusqu’à présent, l’ouvrage n’était disponible qu’en anglais. Mais grâce à la licence Creative Commons by-sa qui le gouverne, trois bénévoles (Xavier Gillard, Loïc Grobol et Étienne Loiseau) ont réalisé une traduction, publiée par Politique du Netz.

L’ouvrage traduit est disponible :

Energie, pollution et internet

Energie, pollution et internet

La lecture de la semaine provient du New York Times, il s’agit du premier article d’une série consacrée au coût écologique du Cloud computing (informatique dans les nuages, le fait que nos données soient stockées, non pas dans les nuages, mais dans des infrastructures très matérielles). Le titre “Energie, pollution et Internet”, ce début d’article fait un résumé de la longue enquête du quotidien américain.

“Des dizaines de milliers de data center (gigantesques bâtiments abritant des serveurs) sont aujourd’hui nécessaire pour supporter l’explosion de l’information numérique. Des quantités gigantesques de données sont mises en circulation chaque jour lorsque, d’un simple clic ou au contact du doigt, les gens téléchargent des films sur iTunes, regardent l’état de leurs comptes sur le site de leur banque, envoient un mail avec une pièce jointe, font leurs courses en ligne, postent un message sur Twitter ou lisent un journal en ligne.” Et tout cela, nous montre le NYTimes, fait que ce fonctionnement structurel de l’industrie de l’information est à l’opposé de l’image écologique qu’on en a. La plupart des data center, de par la manière dont ils ont été conçus, consomment des quantités gigantesques d’énergie qu’ils gâchent de manière incroyable. Par exemple, certaines entreprises font tourner leur matériel au maximum de ses capacités jour et nuit, quelle que soit la demande. Du coup, certains data center peuvent gaspiller jusqu’à 90 % de l’électricité consommée. Pour se protéger d’une panne d’électricité, les data center s’en remettent à des groupes électrogènes qui fonctionnent au diesel, avec les émissions conséquentes. La pollution causée par les data center inquiète les autorités américaines, au point que dans la Silicon Valley, de nombreux centres de données sont répertoriés dans la liste des plus gros pollueurs au diesel.

>>> Source & Suite sur : http://www.internetactu.net/2012/10/01/energie-pollution-et-internet/