Les 3 L : Logiciel Libre & Liberté

À l’occasion des fêtes de fin d’année, voici (pour conclure & boucler la boucle de ma petite série de vidéos de décembre) deux vidéos de RMS :

Qu’est ce que le logiciel libre ?

Le logiciel libre et ta liberté

 

Bon visionnages … & joyeuses fêtes.

 

Cordialement,

sam7 

Annonce initiale

Il y a tout juste 1 semaine a eu lieu un anniversaire bien particulier :

Voici l’annonce originale du projet GNU, publiée par Richard Stallman le 27 septembre 1983.

L’histoire du projet GNU diffère en beaucoup de points de ce plan initial. Par exemple, le début a été reporté jusqu’en janvier 1984. Plusieurs des concepts philosophiques du logiciel libre n’ont été clarifiés qu’après plusieurs années.

Libérez Unix !

À partir de Thanksgiving je vais écrire un système logiciel complet compatible avec Unix appelé GNU (pour Gnu’s Not Unix – Gnu N’est pas Unix), et le distribuer librement (ou gratuitement ?) [free]1 à quiconque voudra l’utiliser.a Il y a grand besoin de contributions sous forme de temps, d’argent, de programmes et d’équipement.

Pour commencer, GNU comprendra un noyau ainsi que tous les utilitaires requis pour écrire et faire tourner des programmes C : éditeur, interpréteur de commandes, compilateur C, éditeur de liens, assembleur et quelques autres encore. Par la suite, nous ajouterons un formateur de texte, un YACC, un jeu Empire, un tableur et des centaines d’autres choses. À terme, nous espérons fournir tous les composants utiles venant normalement avec un système Unix, ainsi que tout autre composant utile, y compris de la documentation en ligne et imprimée.

GNU sera capable de faire tourner des programmes Unix mais ne sera pas identique à Unix. Nous en améliorerons le côté pratique de toutes les manières possibles, en nous basant sur notre expérience d’autres systèmes d’exploitation. En particulier, nous avons l’intention d’implémenter des noms de fichiers plus longs, des numéros de version sur les fichiers, un système de fichiers résistant aux plantages, peut-être la terminaison automatique des noms de fichiers, l’affichage indépendant du terminal et éventuellement un système de fenêtrage basé sur le Lisp grâce auquel plusieurs programmes Lisp ou programmes Unix ordinaires pourront se partager l’écran. Le C et le Lisp seront tous les deux disponibles comme langages de programmation système. Nous aurons des logiciels réseau basés sur le protocole chaosnet du MIT, bien supérieur à UUCP. Nous pourrions aussi avoir quelque chose de compatible avec UUCP.

Qui suis-je ?

Je suis Richard Stallman, inventeur de la version originale de l’éditeur très imité Emacs, actuellement au Labo d’Intelligence Artificielle du MIT. J’ai beaucoup travaillé sur des compilateurs, des éditeurs, des débogueurs, des interpréteurs de commandes, sur l’Incompatible Timesharing System (système à temps partagé incompatible) ainsi que sur le système d’exploitation de la machine Lisp. J’ai été l’un des premiers à faire un système d’affichage indépendant du terminal pour l’ITS. De plus, j’ai mis en œuvre un système de fichiers robuste et deux systèmes de fenêtrage pour machines Lisp.

Pourquoi je dois écrire GNU

Je considère comme une règle d’or que si j’apprécie un programme je doive le partager avec d’autres personnes qui l’apprécient. Je ne peux pas en bonne conscience signer un accord de non-divulgation ni un accord de licence de logiciel.

Afin de pouvoir continuer à utiliser les ordinateurs sans violer mes principes, j’ai décidé de rassembler une quantité suffisante de logiciels libres, de manière à pouvoir m’en tirer sans aucun logiciel qui ne soit pas libre.

Comment vous pouvez participer

Je demande aux constructeurs d’ordinateurs des dons sous forme de machines et d’argent. Je demande aux gens une participation sous forme de programmes et de travail.

Un constructeur d’ordinateurs a déjà offert de nous fournir une machine. Mais il nous en manque encore. Ce à quoi vous pouvez vous attendre si vous faites don de machines est que GNU tournera dessus dans un avenir proche. La machine devrait pouvoir fonctionner dans une zone résidentielle sans requérir d’installation électrique ni de système de refroidissement sophistiqués.

Les programmeurs individuels peuvent apporter leur contribution en écrivant des clones de certains utilitaires d’Unix et en me les donnant. Pour la plupart des projets, un tel travail distribué à temps partiel serait très difficile à coordonner ; les parties écrites indépendamment ne pourraient pas fonctionner ensemble. Mais pour la tâche particulière de remplacer Unix, ce problème n’existe pas. La plupart des spécifications d’interface sont déterminées par la compatibilité avec Unix. Si chacune des contributions peut fonctionner avec le reste d’Unix, elle a de fortes chances de fonctionner avec le reste de GNU.

Si je reçois des dons en argent, je pourrai peut-être engager quelques personnes à temps complet ou à temps partiel. Le salaire ne sera pas élevé mais je recherche des gens pour qui aider l’humanité est aussi important que l’argent. Je vois cela comme un moyen de permettre aux personnes dévouées de mettre toute leur énergie à travailler sur GNU en leur épargnant le besoin de gagner leur vie d’une autre manière.

Pour plus ample information, contactez-moi.

>>> Source & plus d’infos sur : http://www.gnu.org/gnu/initial-announcement.html

Richard Stallman et la révolution du logiciel libre – Une biographie autorisée

Je vous invite à lire le livre Richard Stallman et la révolution du logiciel libre – Une biographie autorisée publié par les éditions Eyrolles sur une initiative de Framasoft et dont voici la préface de RMS lui-même :

J’ai tenté d’apporter à cette édition revue et augmentée mes connaissances, sans pour autant sacrifier le point de vue externe et les interviews de Sam Williams. Le lecteur sera juge du succès de mon entreprise.
J’ai lu pour la première fois le texte de l’édition anglaise en 2009 lorsque j’ai été sollicité pour aider à l’adaptation française de Free as in Freedom. Il lui fallait plus que des modifications
mineures.
Outre que des faits étaient rapportés de façon erronée, il fallait des changements plus profonds. Sam Williams n’étant pas un programmeur, il a brouillé certaines frontières techniques et juridiques fondamentales. Ainsi ne faisait-il pas de distinction claire entre, d’une part, modifier le code d’un programme existant et, d’autre part, implémenter certaines des idées de ce code dans un nouveau programme. Par exemple, il était dit dans la première édition qu’à la fois Gosmacs et GNU Emacs avaient été développés en modifiant le programme original PDP-10 Emacs, ce qui n’était le cas ni pour l’un, ni pour l’autre. De même, le texte désignait à tort Linux comme une « version de Minix » — SCO a d’ailleurs

prétendu la même chose dans leur tristement célèbre procès contre IBM, et tant Torvalds que Tanenbaum ont dû réfuter l’affirmation.
La première édition dramatisait exagérément de nombreux événements en y projetant des émotions. Par exemple, il y était dit qu’en 1992 je « fuyais Linux » avant de faire en 1993 « une spectaculaire volte-face » en décidant de financer Debian GNU/Linux.
Tant mon intérêt en 1993 que mon désintérêt en 1992 n’étaient que des actions au service d’un même but : achever le système GNU. Il en allait de même du lancement du noyau GNU Hurd en 1990.
Pour toutes ces raisons, de nombreuses affirmations dans l’édition originale étaient erronées ou incohérentes. Il était nécessaire de les rectifier, mais le faire honnêtement était délicat sans une récriture totale qui n’était pas désirable. L’utilisation de notes explicites rectificatives a été suggérée, mais l’ampleur des modifications l’aurait rendue impossible dans la plupart des chapitres.
Certaines erreurs étaient trop profondément ancrées dans le texte pour être corrigées par des notes. Quant aux autres, des notes au fil ou en bas de page auraient alourdi considérablement et rendu l’ensemble illisible — les notes de bas de page étant évidemment
ignorées par un lecteur lassé. C’est pourquoi j’ai directement corrigé le texte.

Je précise que je n’ai pas vérifié tous les faits et citations inconnus de moi ; je les ai laissés pour la plupart en m’en remettant à l’autorité de Sam Williams.
Par ailleurs, la version de Sam Williams contenait de nombreuses citations critiques envers moi. Je les ai laissées intactes, me contentant d’y répondre lorsque cela était approprié. Aucune citation n’a été supprimée, excepté certaines au chapitre 11, qui traitaient d’open source et n’avaient pas de rapport avec ma vie ou mon action. De même, j’ai conservé certaines interprétations personnelles de Sam Williams qui étaient critiques envers moi,
lorsqu’elles ne présentaient pas de malentendus factuels ni techniques, mais j’ai librement corrigé des affirmations fausses concernant mon œuvre, mes pensées ou mes sentiments. J’ai préservé toutes ses impressions personnelles lorsqu’elles étaient présentées comme telles, et « je » désigne toujours Sam Williams, sauf dans les notes précédées de mon nom, ou dans celles en italique qui ponctuent certains chapitres et l’épilogue sous forme d’encarts.
Dans cette édition, le système complet qui combine GNU et Linux est appelé « GNU/Linux », tandis que « Linux » seul désigne toujours le noyau de Torvalds, excepté dans les citations où l’autre acception est signalée par [sic]. (Pour comprendre en quoi il est erroné et abusif de désigner l’ensemble par « Linux », voir http://www.gnu.org/gnu/gnu-linux-faq.html).
Je tiens à remercier John Sullivan pour ses nombreuses critiques et suggestions utiles.

 

>>> Source sur :

>>> Licence : GNU Free Documentation Licence

Richard Stallman s’exprime sur l’escroquerie des Ayants-Droit d’HADOPI

Richard Stallman, RMS pour les intimes, qui est l’inventeur de GNU – logiciel libre, s’exprime à propos de la HADOPI en France et du système actuel des ayants-droit comme d’une escroquerie. « Les Ayants-droit sont une entreprise et pas des artistes ». Pascal Nègre, si tu nous écoutes… Difficile, en tout cas, de ne pas lui donner raison, tant le modèle économique des éditeurs de contenus « artistiques » n’est plus adapté à l’heure d’Internet. Alors, lorsqu’un militant duCopyleft s’exprime, c’est tout le poids du monde citoyen qui le suit.

Mais, là où je suis impressionné, c’est sur la solution de légalisation du partage qu’il préconise pour rémunérer les créateurs – plus que les ayants-droits. Une solution quasi identique à celle que j’avais aussi émise, il y a quelques années, et que visiblement je n’étais pas le seul à avoir. une solution à n’en pas douter une seule seconde qui ne trouvera jamais sa concrétisation, même avec François Hollande, l’actuel président de la République Française. Les lobbies sont bien trop puissants pour se laisser faire, et le courage Politique n’est pas de ce monde – à sa charge de me faire mentir.

Personnellement, et je peux me tromper ; la seule chose que je vois pour remplacer la HADOPI, c’est une taxe – sans aucune contrepartie – sur les FAI pour soi-disant financer la création.

Je ne savais pas qu’il avait un aussi bel accent français ; quel Grand Homme.

http://www.dailymotion.com/swf/xrtt4z_richard-stallman-le-pape-du-logiciel-libre-conseille-hollande-sur-hadopi_news

>>> Source sur : http://neosting.net/video/richard-stallman-sexprime-sur-le-systeme-hadopi.html

Richard Stallman, précieux radoteur

Le pape du logiciel libre a donné une conférence ce jeudi à Paris sur le thème ”Logiciels libres et droits de l’Homme”. Son discours prend une dimension supplémentaire dans un contexte de surveillance croissante des citoyens.

 

La Mutinerie, ses flamboyantes tentures rouges et son coffre de pirate en guise de table : l’espace parisien de co-working était tout désigné pour accueillir la conférence de Richard Stallman, hacker mythique qui a initié le mouvement du logiciel libre, sur le thème ”Logiciels libres et droits de l’Homme”. Une initiative des ONG la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et Reporters sans frontières (RSF), de leurs amis du cluster de hackers Telecomix, de Silicon Maniacs, avec le soutien de l’agence de communication LIMITE.

Drones d’intérêt général

DRONES D’INTÉRÊT GÉNÉRAL

Des drones fabriqués en Bretagne pour équiper les opposants syriens, les aider à communiquer entre eux et témoigner des …

En mode automatique, Richard Matthew Stallman, rms pour les intimes, a délivré son laïus habituel, devant un public acquis. Le même depuis presque trente ans, lorsqu’il claqua la porte du laboratoire d’intelligence artificielle du MIT en 1983 pour développer GNU, un OS dont le code est ouvert, en réaction à la logique propriétaire de plus en plus prégnante, gros sous oblige. Un retour à la nature originelle des logiciels puisque, on l’oublie souvent, les programmes ont d’abord été libres par défaut. Dans la foulée, la Free Software Foundation (FSF) est créée pour soutenir le projet.

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Plus qu’un paramètre technique, l’ouverture du code est pour Richard Stallman une véritable philosophie. Il la résume en trois petits mots qui nous sont familiers, rappelé en ouverture, dans un français impeccable :

Liberté, égalité, fraternité.

Un triptyque d’où découlent quatre obligations, “quatre nouveaux droits de l’homme”, dans une société où l’informatique joue un rôle central : liberté d’utiliser le logiciel, de l’étudier, de le modifier et de le redistribuer. Mais aussi une quadruple obligation que doit respecter un programme pour pouvoir prétendre à une des licences labellisées “libre”.

 

Stallman est bien sûr agaçant par son côté sectaire, son intransigeance, qui consiste à démonter méthodiquement les outils que la plupart des gens utilisent au quotidien, en ignorant (faisant semblant de ?) que l’utilisateur lambda se contrefiche de savoir que Microsoft a mis des portes dérobées (backdoors) pour modifier Windows, ce “malware universel”,  ou qu’il ne peut pas tripatouiller le code, tant que ses besoins sont satisfaits. Lassant encore quand il file, as usual, la petite claque à Linux, l’OS libre à succès développé par Linus Torvalds et la grosse baffe à l’open source, avatar marketé parfois moins pointilleux sur les licences, qui a commis le crime de mettre en avant l’efficience des outils libres plutôt que l’éthique.

Richard Stallman joue d’ailleurs de cette étiquette en tonnant à moult reprises “parlez plus fort, je n’entends pas” (il est sourd comme un pot), ou en endossant le costume de Saint iGNUcius :

Saint iGNUcius, de l’Eglise d’Emacs2
Je bénis ton ordinateur
Nous adorons le seul vrai éditeur d’Emacs
Tu dois prononcer la confession de foi :
Il n’y a aucun autre système que Gnu et Linux est un de ses noyaux

 

Si l’homme occidental moderne fait furieusement penser au Discours de la servitude volontaire, de la Boétie, c’est somme toute son problème. En revanche, quand la liberté de communiquer, voire des vies, sont en danger, l’argument du “contrôle du logiciel sur l’utilisateur” pèse d’un poids nouveau. Et malheureusement, la surveillance du réseau s’accroit…

>>> Source & Suite sur : http://owni.fr/2012/06/29/richard-stallman-precieux-radoteur/

Qui ce serveur sert-il, franchement ?

Sur Internet, le logiciel privateur n’est pas la seule façon de perdre votre liberté. Le logiciel en tant que service [Software as a Service] est un autre moyen de donner à un tiers le pouvoir sur votre informatique.

Contexte : comment le logiciel privateur vous enlève votre liberté

La technologie numérique peut vous donner de la liberté ; elle peut aussi vous la prendre. Le contrôle que nous avons de notre informatique a d’abord été menacé par lelogiciel privateur : logiciel sur lequel les utilisateurs n’ont pas la main parce que le propriétaire (une société, comme Apple ou Microsoft) le contrôle. Les propriétaires se servent souvent de ce pouvoir injuste en insérant des fonctionnalités malveillantes comme les logiciels espions, les portes dérobées [backdoors], et les dispositifs de « gestion numérique des restrictions », ou  DRM, qu’ils nomment « gestion numérique des droits » dans leur propagande.

Notre solution à ce problème est de développer le logiciel libre et de rejeter le logiciel privateur. Logiciel libre signifie que vous, en tant qu’utilisateur, avez quatre libertés essentielles : (0) exécuter le programme comme vous le souhaitez, (1) étudier et changer le code source comme vous le souhaitez, (2) redistribuer des copies exactes, et (3) redistribuer des copies de vos versions modifiées (voir la définition du logiciel libre).

Avec le logiciel libre, nous, les utilisateurs, récupérons le contrôle de notre informatique. Les logiciels privateurs continueront d’exister, mais nous pouvons les exclure de nos vies et beaucoup d’entre nous l’ont déjà fait. Cependant, nous faisons face actuellement à une nouvelle menace sur le contrôle que nous avons de notre informatique : le logiciel en tant que service (SaaS). Pour notre liberté, nous devons le rejeter également.

Comment le logiciel en tant que service vous enlève votre liberté

>>> Source & Suite sur : http://www.gnu.org/philosophy/who-does-that-server-really-serve.html

Richard Stallman (1953 – )

Richard Stallman

Drôle de titre pour un drôle de billet, me direz-vous.

Vous le savez, une des personnes pour lesquelles j’ai beaucoup d’admiration est Richard Stallman, le Monsieur Logiciels Libres.

En cette paisible journée, j’ai eu la brusque envie de rendre un hommage anthume à ce grand homme que j’ai pu rencontrer physiquement par le passé, lors de la sortie du framabook Richard Stallman et la révolution du logiciel libre. D’ailleurs il voyage beaucoup et vous aurez de nombreuses occasions de le rencontrer en France, d’autant qu’il parle très bien notre langue et qu’il se montre très attentif et accessible.

De cette rencontre j’ai gardé le sentiment de quelqu’un de paisible et très doux (même si ses positions tranchées font que beaucoup préfèrent éviter de l’avoir comme ennemi).

C’est ce sentiment que j’ai voulu partager à travers quelques photographies glanées ici ou là.

Pour ce billet je vous propose de joindre le son à l’image, avec la chanson du logiciel libre (Free Software Song) interprétée a cappella par le maître en personne :

Deux autres billets que j’ai publié sur le même thème :

 

>>> Source & plus d’infos sur : http://libre-ouvert.toile-libre.org/index.php?article95/richard-stallman-1953

Le danger des brevets logiciels par Richard Stallman

Parmi les nombreux front où est engagé le Libre il y a celui complexe, épineux et crucial des brevets logiciels (dossier suivi notamment chez nous par l’April).

Voici la position de Richard Stallman, donnée lors d’une conférence en Nouvelle-Zélande.

Amine Ghrabi - CC by-nc

>>> Source & Suite sur : http://www.framablog.org/index.php/post/2012/05/02/danger-brevets-logiciels-stallman

Le compilateur libre GCC a 25 ans et il continue de bénéficier à tous

On a parfois tendance à l’oublier, mais le logiciel libre est là depuis un certain temps déjà. D’ailleurs si son histoire de l’intérieur vous intéresse nous vous suggérons l’excellente et enrichissante lecture de notre biographie de Richard Stallman.

L’intérêt de cette traduction est de venir nous le rappeler à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire du célèbre compilateur GCC du projet GNU, en soulignant le fait qu’il est toujours utilisé de nos jours et qu’il ne faudrait pas oublier d’où il vient.

 

Renuka Prasad - CC by

Les bénéfices de l’open source

>>> Source & Suite sur : http://www.framablog.org/index.php/post/2012/04/28/compilateur-gnu-gcc-25-ans

Pourquoi les écoles devraient utiliser le logiciel libre et l’enseigner (R. Stallman)

Petite mise en lumière d’un article du site de Free Software Foundation de Richard Stallman.

Quand on regarde ce qui a été fait dans ce domaine à l’Éducation nationale française ces cinq dernières années (à savoir pas grand chose), on se dit qu’il y a encore du pain sur la planche…

On notera que l’on n’oppose pas outils et savoirs informatiques et que dans les deux cas le logicel libre est plus que pertinent[1].

Liz Poage - CC by

>>> Source & Suite sur : http://www.framablog.org/index.php/post/2012/03/06/ecole-logiciel-libre