Quelques enseignements à tirer de la disparition de Google Reader

Scénario d’horreur il y a quelques semaines dans le monde du web : Google va stopper tout net son lecteur de flux RSS vedette, Reader.

Sans traîner d’ailleurs, puisque tout ça doit s’achever au 1er juillet.

Des milliers de blogueurs / journalistes / veilleurs se trouveront alors orphelins de leur outil de travail quotidien. On ne compte plus les articles sur le sujet, partagés souvent entre la rage, l’incompréhension, ou encore l’annonce de sa plus grande méfiance envers le géant Google (avant de se jeter sur Keep à peine quelques jours plus tard, mais c’est une autre histoire).

Sans compter les innombrables articles proposant déjà les meilleures alternatives à Google Reader.

Si je ne me suis pas encore exprimé sur le sujet, c’est parce que comme tu peux t’en douter, le secteur risque de fortement bouger dans les mois à venir.

Entre les annonces respectives de Feedly que j’aime beaucoup en version mobile, Digg qui a apparemment décider de se jeter dans l’arène, un éventuel retour à mes premiers amours avec Netvibes, ou le passage à une alternative libre,  il me semble encore bien trop tôt pour prendre une décision.

En revanche, à présent que la douleur du coup de massue s’estompe, il est sans doute temps de tirer quelques enseignements de cet événement.

Voici ce que j’en pense…

  • Les fournisseurs de services font ce qu’ils veulent
  • Restons toujours informés des portes de sortie
  • Soyons toujours au courant des alternatives… et soutenons les !
  • Apprenons a avoir une certaine souplesse avec les outils que nous utilisons
  • Un argument de poids pour les logiciels libres ?

 

***

Personnellement, sans jouer un numéro d’équilibriste entre un extrême et un autre, je pense que je continuerai à utiliser indifféremment des logiciels libres ou des logiciels propriétaires, en choisissant simplement l’outil correspondant le mieux à mes besoins. Sans m’interdire pour autant de regarder avec intérêt ce qui se passe ailleurs.

Mais je peux t’assurer que je serais d’autant plus vigilant sur tous les aspects que je viens de te citer.

La même chose pour toi ?

>>> Source & plus d’infos sur : http://coreight.com/content/enseignements-disparition-google-reader

Google + Ubuntu = Goobuntu

Google + Ubuntu = Goobuntu

Chez Google, les développeurs, mais aussi les managers, les traducteurs et de nombreux autres employés maitrisant ou non Unix utilisent Ubuntu sur leur machine principale… mais attention, ils n’utilisent pas n’importe quelle release puisqu’ils ont carrément leur propre remix « Google » baptiséGoobuntu.

Lors du dernier Ubuntu Developper Summit, Thomas Bushnell, développeur chez Google, a expliquécomment était utilisé Ubuntu chez Google et surtout quelles étaient les particularités de la version Goobuntu. Si ça vous intéresse, lisez la suite, sinon et bien retournez sous Windows 😉

>>> Source & Suite sur : http://korben.info/goobuntu.html

Moteurs de recherche : 5 alternatives à Google

De plus en plus contesté pour son irrespect de la vie privée, pour sa mise en avant des « gros » au détriment des « petits » dans les résultats de recherche, pour son hégémonie dont il profite pour imposer ses propres services en masquant la concurrence… Google ne fait plus l’unanimité. Numerama fait le point sur cinq moteurs de recherche alternatifs qui peuvent au moins occassionnellement remplacer Google : DuckDuckGo, Ixquick, Yacy,  Wolfram Alpha, et Bing.

Comme partout en Europe, Google écrase le marché de la recherche en France, avec plus de 90% des requêtes effectués par son moteur. Il est devenu le premier réflexe d’une grande partie des internautes, avec l’aide de navigateurs comme Firefox ou Chrome qui le placent en moteur de recherche par défaut. Mais malgré son slogan « Don’t be evil« , la firme américaine n’hésite pas à user de sa position de numéro un pour imposer ses services ou son traçage publicitaire, ce qui lui vaut une opposition de plus en plus vive.

Pire, les résultats fournis par son moteur sont de moins en moins exhaustifs, à mesure que les critères sociaux ou géographiques prennent de l’ampleur dans leur ordonnancement. Par ailleurs la censure de certains termes de recherche ou l’intégration de Google+ dans l’algorithme d’affichage des résultats participent à sacrifier la pertinence au profit d’intérêts divers.

Une demande d’alternatives se fait jour, ce dont pourraient profiter d’autres acteurs beaucoup plus timides. Numerama a sélectionné 5 alternatives intéressantes, dont nous publions le détail de nos analyses sur les forums de Numerama (n’hésitez pas à y ajouter vos propositions et vos impressions).

 

>>> Source & Suite sur : http://www.numerama.com/magazine/22300-moteurs-de-recherche-5-alternatives-a-google.html

InSync – Une copie de sauvegarde

InSync est un petit soft dispo sous Mac, Windows et Linux qui permet de synchroniser avec un répertoire sur votre disque dur, tous vos Google Documents.

En gros, vous associez votre compte Google à Insync, puis tous vos documents Gdocs seront automatiquement téléchargés (et mis à jour) sur votre ordinateur, de quoi avoir une copie de sauvegarde locale permanente. Et inversement, si dans ce dossier, vous placez un document, celui-ci sera automatiquement envoyé sur Google Docs.

 

>>> Source & Suite sur : http://korben.info/insync-une-copie-de-sauvegarde.html

Google Play remplace Android Market, Google Music et Google eBookstore

Google a entamé la fusion de ses diverses boutiques en ligne sous une seule et même bannière : Google Play. Ce nouvel espace de vente va rassembler les contenus vendus sur Android Market, Google Music ou encore Google eBookstore.

C’est le grand chambardement chez Google. Le groupe américain vient de rassembler plusieurs de ses services en ligne sous un seul et même pavillon, afin de constituer un espace de vente unique et global.

>>> Source & Suite sur : http://www.numerama.com/magazine/21931-google-play-remplace-android-market-google-music-et-google-ebookstore.html

Télécharger Google Play …

Google a décidé de refondre ses principaux services Android pour proposer une offre légèrement fusionnée. C’est totalement marketing et le Google Market devient ainsi Google Play… Des applications, des jeux mais aussi et surtout des livres, des films et de la musique. Tout le contenu à un endroit unique… rejoignant ainsi ce que fait Apple depuis un petit moment. Bonne idée !

Pour le moment, comme nous ne sommes pas américains, nous n’en profitons pas, mais il est quand même possible d’utiliser ces applications. J’espère simplement qu’au final les prix seront raisonnables et les DRM absents.

>>> Source & Suite sur : http://korben.info/telecharger-google-play.html

De la polémique Google sur la vie privée

Il y a des jours comme ça où on se dit, après la lecture d’un billet, et puis d’un autre… qu’après tout, on devrait laisser tomber les combats que l’on juge importants. J’ose cependant croire qu’il s’agissait pour le premier d’un billet totalement irréfléchi, mal inspiré et surtout pas du tout documenté. Un billet, gentiment benêt, et donc excusable. Pour le second, j’ose espérer qu’il s’agit d’un billet autocentré sur le nombril de son auteur, lui aussi non réfléchi et non documenté… soit. Sauf qu’il est tout de même compliqué de ne pas réagir.
Au coeur de la pseudo polémique, la collecte et l’exploitation des données personnelles collectées par Google. Tout le Net en parle, la presse y compris, on peut lire un peu de tout et surtout beaucoup de n’importe quoi. Il est toujours délicat de causer de Google. J’admire les personnes qui sont capables d’élaborer une reflexion sur un sujet aussi complexe et se forger leur opinion en une vingtaine de lignes, sans même avoir lu ce que Google dit collecter, ce qu’il en fait, ni souvent d’ailleurs sans connaitre les services proposés par ce qui ressemble de plus en plus à l’étoile noire des données personnelles.
Même si l’on fait preuve d’un esprit de synthèse brillant, qu’on pense connaitre Google de A à Z parce qu’on utilise Gmail et Youtube, la question des données personnelles et de la protection de la vie privée méritent une réflexion un tantinet plus poussée.

Comment ne pas dépendre exclusivement de google grâce à des alternatives libres

Bien avant que Google nous sorte ses deux dernières trouvailles, à savoir sa décision de fusionner 60 politiques de confidentialité en une seule, avec toutes les implications que ça aura sur la vie privée des utilisateurs, et la dernière en date où il propose aux internautes d’installer un mouchard sur leurs navigateurs, pour mieux les traquer sur le web, bien avant tout cela, j’avais fait le choix de se débarrasser de tous ses services : Gmail, Google Docs, Google map…, et bien évidemment son moteur de recherche. Je profiterai donc de cet article pour vous présenter les alternatives que j’ai trouvé, en espérant que ça va vous convaincre à y réfléchir.

>>> Source & Suite sur : http://www.planet-libre.org/?post_id=11232

Ensemble libérons Framasoft de Google (lettre ouverte)

Porneia delights, 13 février 2012, al. — Cher Frama{soft|blog|key|gora|etc},

Avant tout, permettez-nous de nous présenter. Nous sommes le Porneia delights. Nous sommes persistants et répugnants. Ah et aussi, nous ne venons pas vraiment de l’espace.

Vous ne nous connaissez probablement pas. Mais ce n’est pas grave. Car nous, nous vous connaissons bien. Oh pas personnellement bien sûr. Mais cela fait des années que nous vous suivons sur cette longue route mais dont la voie est libre… Nous avons parcouru les pages de Framasoft à la recherche de Logiciels Libres ; nous nous sommes longuement cultivés avec les Framabooks ; nous avons activement libéré des ordinateurs et leurs utilisateurs avec Framakey ; nous avons travaillé librement en utilisant le Framapad ; nous avons aussi ri, pleuré, nous nous sommes énervés et rebellés, nous avons été ému parfois en lisant les articles et les traductions que vous publiez sur Framablog ; nous avons même fêté vos 10 ans dans notre coin en vous écoutant religieusement à la radio. Et tant d’autres choses encore.

Comme d’autres vous contribuez tous les jours à rendre notre Internet plus propre en lui donnant une bonne odeur de frais. Mince. Nous vous en sommes tellement reconnaissant. Nous aimerions donner de l’argent mais nous sommes vraiment pauvres. Alors, faute de moyens pécuniers, nous avons décidé d’agir autrement. Nous parlons de vous autour de nous, ne manquant pas une occasion de vanter vos mérites, vos exploits. Nous envoyons vos articles sur des listes de diffusion, dans des boîtes mails d’enseignants et de professeurs, faisant parfois naître le débat. Nous boycottons les logiciels privateurs que l’on voudrait nous faire utiliser en cours d’informatique dans nos lycées et nos universités. À la place et à leurs stupéfactions nous branchons nos Framakey « LaTex Edition » ou Framakey Salix sur leurs machines fermées et nous en faisons des copies pour nos camarades. Nous mettons Framasoft sur les pages d’accueil des navigateurs de leurs machines en libre-service. Nous placardons des stickers à votre effigie sur les murs et les poteaux qui ont le malheur de croiser notre route. Nous terrorisons joyeusement la Fnac ou encore Carrefour en mettant des fonds d’écran Framasoft sur les bureaux de leurs ordinateurs de démonstration. À notre manière, à notre échelle, et grâce à vous nous essayons de répandre la bonne parole. Pour tout ça, nous vous disons, très sincèrement, merci.

Mais nous aimerions vous demander une dernière petite chose. Nous ne vous ferons pas l’affront de vous expliquer en quoi Google peut être mauvais, comment il trace et revend nos informations personnelles, comment il trace et revend — à leur insules informations des visiteurs des sites qui utilisent leurs services. Nous ne vous expliquerons pas non plus comment remplacer Google Analytics par une alternative libre. Car tout ça vous le savez mieux que nous. Car c’est vous, avec d’autres, qui nous l’avez appris.

[Ghostery sur<br />
     framasoft.net]

Cette impression d’écran montre Ghostery en action sur votre page principale. Mais c’est comme ça presque sur tous vos espaces.

Il y a trois ans vous nous avez expliqué pourquoi vous faîtes ça mais tout de même, s’il vous plaît Framasoft, continuez à nous montrer l’exemple et libérez-vous de Google. S’il vous plaît, libérez vos visiteurs de Google.

Librement vôtre ; longue vie et prospérité.

le Porneia delights

>>> Source : http://www.planet-libre.org/?post_id=11198

(j’ai copier/coller en intégralité car cette initiative est très intéressante…)

Qu’allons-nous faire si le diable Google sort de sa boîte ?

La trappe Google commencerait-elle à doucement mais sûrement se refermer sur ses utilisateurs, mettant du plomb dans l’aile à son fameux slogan « Don’t be evil » ?

Deux récents changements le laissent en effet à penser. Tout d’abord une modification en profondeur de l’affichage des résultats du moteur de recherche au profit de son propre réseau social Google+ et au détriment de la neutralité et des petits camarades Facebook, Twitter & Co (qui ont réagit comme il se doit).

Et puis donc, voir ci-dessous, cette toute nouvelle mise à jour de sa politique de confidentialité qui vous impose le regroupement de toutes les données personnelles de vos différents comptes Google (Gmail, YouTube, Calendar, Recherche…). On pourra voir (avec le recul nécessaire) cette vidéo made by Google pour comprendre de suite de quoi il s’agit[1] ou encore cette dépêche AFP déjà plus objective.

Officiellement, du côté de chez Google, on ne parle que d’expérience utilisateur enrichie. Il ne s’agit en effet que d’améliorer la pertinence des résultats (et des encarts publicitaires proposés). D’ailleurs c’est titré « Des règles de confidentialité unifiées pour une expérience Google unique » sur leur site.

Mais si on y réfléchit bien, avec un compte Gmail et un smartphone Android à la géolocalisation activée (ce qui est fréquent même chez les librisites), Google est désormais capable de tout savoir de vous, d’autant que Google+ vous a encouragé à vous inscrire sous votre propre nom !

Bien sûr, Google n’est ni un service public, ni une organisation philanthropique, et il en va de notre propre responsabilité d’accepter des contrats que Google peut modifier quand bon lui semble lorsque nous avons décidé de nous inscrire chez eux.

Mais quand on y réfléchit bien Big Brother n’est vraiment plus très loin, et le diable non plus…

Steve Rhodes - CC ny-nc-nd

Google a rompu le pacte : son engagement à « ne pas faire de mal »

>>> Source & Suite sur : http://www.framablog.org/index.php/post/2012/01/25/google-is-evil

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Google publie un guide ergonomique pour les développeurs Android

Petit à petit, Google s’efforce d’homogénéiser l’expérience utilisateur des terminaux utilisant Android, son système d’exploitation mobile open-source. Après avoir imposé aux constructeurs une interface par défaut dans Android 4.0, en plus de leurs couches graphiques, la firme publie des conseils pour que les développeurs conçoivent des applications ergonomiques sur tous les appareils.

Google s’efforce de gommer l’un des principaux reproches fait à Android, son système d’exploitation mobile. En effet, la différence d’expérience utilisateur parfois très grande entre les différents terminaux est souvent décriée par les développeurs et, surtout, par les utilisateurs qui ne peuvent pas tous profiter de leur téléphone de la même manière.

>>> Source & Suite sur : http://www.numerama.com/magazine/21278-google-publie-un-guide-ergonomique-pour-les-developpeurs-android.html