Pourquoi la presse devrait soutenir la légalisation du partage non-marchand

On a appris la semaine dernière qu’une loi est en cours d’adoption en Allemagne destinée à taxer les moteurs de recherche et les agrégateurs de contenus qui indexent les articles de la presse en ligne et pointent par des liens vers leurs sites. Ce texte a été surnommé Lex Google, car c’est principalement la firme de Mountain View qui est visée, à travers son service Google Actualités. Cette loi va contribuer à modifier en profondeur l’équilibre du web tel que nous le connaissons, en faisant payer pour de simples liens hypertextes, pour des titres et pour de courts extraits.

Le bateau presse prend l’eau et souffle à l’oreille du législateur des projets de lois inquiétants (Newspaper Boat. Par R. Mahmood.CC-BY-NC-SA. Source : Flickr)

Aussitôt, le Syndicat de la Presse Quotidienne Nationale (SPQN) a interpellé les pouvoirs  publics français afin qu’un dispositif similaire soit instauré dans notre pays. Les éditeurs de presse proposent deux solutions juridiques pour atteindre cet objectif : soit la création d’un nouveau type de droits voisins à leur profit, à l’image de ce qui existe depuis 1985 pour les producteurs de phonogrammes et les artistes-interprètes, soit la mise en place d’une taxe sur les appareils connectés (ordinateurs, smartphones, tablettes). La Ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, a déjà répondu favorablement à cette sollicitation, en se prononçant en faveur d’une “taxe Google”.

Des solutions alternatives existent pour la presse en ligne

>>> Source & Suite sur : http://scinfolex.wordpress.com/2012/09/07/pourquoi-la-presse-devrait-soutenir-la-legalisation-du-partage-non-marchand/

La liberté, un beau concept

Les journalistes français Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier viennent d’être libérés après avoir été otages 547 jours en Afghanistan. D’autre part, Nelson Mandela, emprisonné vingt-six ans pour son engagement contre l’apartheid, fête son 92e anniversaire. Pas besoin de philosopher beaucoup pour comprendre la force du mot « liberté » à travers ces deux événements.

C’est cette notion de liberté que l’on retrouve dans le terme de « logiciel libre ». Bien sûr, on ne parle que d’informatique. Mais il s’agit, toutes proportions gardées, du même concept. Avec un logiciel libre, il y a de nombreux avantages et quasiment aucune contrainte (à part éventuellement de devoir redistribuer les modifications sous la même licence). On est libre de faire ce que l’on veut du logiciel. Un logiciel pour tous, par tous, pour tous les goûts et tous les usages. On maîtrise notre environnement numérique. Et tout cela parfaitement légalement.

>>> Source & Suite sur : http://www.lea-linux.org/?p=674

Soirée Wikileaks et libertés d’expression sur le Net à la Cantine

Ci-après, un extrait du dernier billet publié par bluetouff sur son blog …

 

Wikileaks: vers un monde plus transparent?

Silicon Maniacs et l’Atelier des Médias RFI vous invitent ce lundi 20 décembre à La Cantine à une soirée consacrée à l’avalanche Wikileaks et à la notion de transparence. A partir de 19H. Le monde a-t-il changé depuis la publication des Statelogs ? Au delà de la tempête médiatique, des condamnations politiques, des censures, de l’arrestation de Julian Assange ou des attaques de hackers, la publication de ces centaines de milliers de documents interroge nos organisations sociales.
Les nouvelles technologies ont-elles modifié notre rapport à l’information, au secret, à la transparence? Pour tenter d’en savoir plus et commencer à réfléchir à l’après, Silicon Maniacs et l’Atelier des Médias RFI vous convient à une soirée de débats et d’idées.

Liberté d’expression sur le Net

 

>>> Source & Suite sur : http://bluetouff.com/2010/12/15/soiree-wikileaks-et-libertes-dexpression-sur-le-net-a-la-cantine/