Les smartphones, futurs laboratoires de diagnostics biochimiques

Les smartphones permettent aujourd’hui de suivre son état de santé et son bien-être, grâce à des applications mobiles très particulières. Mais demain, les terminaux pourront vraisemblablement aller plus loin encore dans l’auto-évaluation. En Italie, des chercheurs ont conçu une méthode qui permettrait d’intégrer dans un mobile un outil diagnostic des maladies infectieuses.

Depuis quelques années, on assiste à l’émergence d’une nouvelle pratique dans le secteur de la santé et du bien-être : l’auto-évaluation de soi (quantified self). Via des applications mobiles, un individu a la possibilité de suivre et de contrôler dans le temps son activité sportive, son état physiologique, son hygiène de vie ou n’importe quel autre aspect de la vie quotidienne.

Il existe par exemple des applications qui mesurent les performances en matière de course à pied (Nike+ Running), observent l’état général du sujet (Up), contrôlent le poids, surveillent le régime alimentaire et ainsi de suite. Selon l’objet de l’analyse, certaines applications ne peuvent pas fonctionner efficacement sans la présence d’un appareil spécifique (comme une balance connectée).

L’auto-évaluation ne se limite pas au bien-être ; elle ouvre aussi de nouvelles perspectives dans le domaine médical. Aux États-Unis, une application mobile propose par exemple d’évaluer sa vue sans recourir à un ophtalmologiste. Il ne s’agit évidemment pas de le remplacer, mais de profiter des atouts de la technologie pour effectuer un suivi plus régulier de son acuité visuelle.

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Les MOOC, cours en ligne ouverts et massifs, une révolution pour l’éducation ?

Les MOOC, cours en ligne ouverts et massifs, une révolution pour l’éducation ?

Nous y sommes enfin. Ou presque. L’éducation libre, ouverte, gratuite, interactive, partagée.

En réalité, tout est déjà prêt depuis de nombreuses années, mais l’idée semble avoir furieusement envie de se généraliser, et elle va même débarquer en France, pays où le sujet de conversation principal concernant l’enseignement semble être l’épineuse mais sans doute futile question des horaires de classe.

Tu risques de beaucoup entendre parler d’un nouvel acronyme certes un peu barbare : les MOOC (prononcé « mouc »), ou Massive Open Online Course, soit en français cours en ligne ouverts et massifs.

Des cours dispensés en ligne, même par les plus prestigieuses universités, suivis parfois par des centaines de milliers de personnes au même moment partout à travers le monde, et surtout… entièrement libres et gratuits.

Nous le savons déjà, une bonne partie de la connaissance humaine est disponible sur notre bel Internet. Encore faut-il la trouver sous une forme digérable par le commun des mortels. Avoue que ce n’est pas toujours simple.

Quelques internautes ambitieux se sont pourtant donnés pour objectif de faciliter le travail de leurs congénères. Je me souviens des débuts d’un petit site monté par deux (très) jeunes entrepreneurs français, qui expliquait comment coder et mettre en ligne un site web de A à Z, avec des mots simples, des exemples drôles, et une communauté sympathique gravitant autour.

J’ai avalé des pages et des pages de ces cours, n’ayant jamais l’impression d’une quelconque contrainte, et les modestes compétences que je possède aujourd’hui qui me permettent de bricoler sur Internet me viennent toutes de ce genre de site.

Il s’appelait le Site du Zéro, et il n’a pas cessé de grandir, touchant à des thématiques de plus en plus variées, sortant même du web pour proposer ses propres ouvrages en bon vieux papier.

Comme un signe de la mutation éducative qui est en train de se produire, le site vient de changer de nom récemment, pour OpenClassrooms, démontrant ses ambitions de toucher un public encore plus large que les simples débutants, de se lancer sérieusement à l’échelle internationale, et de montrer sa dimension communautaire.

(…)

Une révolution pour l’éducation ?

Certains semblent en tout cas en être persuadés.

J’ai trouvé chez le grand Jérôme Choain (aka JCFrogune vidéo de Christine Vaufrey, à l’origine du premier MOOC français, ITYPA (acronyme de « Internet, Tout Y est Pour Apprendre »)

Je t’invite à visionner la vidéo (…)

Que les professeurs qui se démènent pour leurs élèves ne s’inquiètent pas trop, il ne s’agit pas de remettre en cause leurs compétences et leurs savoir-faire . Mais au contraire de leur donner les moyens de toucher une cible plus large, plus motivée, plus intéressée, de favoriser les interactions entre leurs élèves.

Un programme sacrément ambitieux.

>>> Source & plus d’infos  sur : http://coreight.com/content/mooc-education-revolution

OpenELEC 3.2.1 disponible

OpenELEC a été publiée récemment en version 3.2.1, embarquant la première vague de correctifs et d’améliorations pour la branche 3.2.x de ce média center bien sympathique. Parmi les améliorations et les corrections de bugs on notera entre autres l’utilisation du noyau Linux en version 3.10.13, la mise à jour de xbmc en version 12.2-cd71444, la mise à jour d’un grand nombre de librairies et la correction d’une quinzaine de bugs. Si ça vous tente vous pouvez vous rendre sur cette page pour consulter l’annonce de sortie.

>>> Source & suite sur : http://la-vache-libre.org/en-bref-openelec-3-2-1-disponible/